« Instagrammable » : nouveau mot d’ordre de l’expérience client ! C’est un des buzzwords de 2018, mais qui traduit une réalité incontournable : les consommateurs privilégient les expériences à partager sur les réseaux sociaux. Du Club Med (notre photo) à Häagen-Dazs, les marques se transforment dans le monde réel pour adopter les codes d’Instagram. Et elles ne manquent pas d'ingéniosité pour s'emparer de la tendance...

Quand il s'agit de penser l'architecture générale de son site internet pour le SEO, "ce qui importe, c'est combien de clics il faut pour arriver sur chaque page à partir de la page d'accueil. Si cela demande un clic pour obtenir un contenu depuis la page d'accueil, alors Google pourrait considérer la page comme plus importante. Par conséquent, il pourrait lui donner plus de poids lors du classement dans les résultats de recherche." Rien d'illogique finalement : si vous considérez une page comme particulièrement importante, vous avez de toute façon tout intérêt à la rendre accessible rapidement. De quoi faire un petit rappel : Google ne s'amuse pas à changer les règles parce qu'il s'ennuie, mais parce que l'évolution des usages du public, notamment due à l'utilisation dominante du mobile, l'y incite. Les marques voulant entrer en contact avec ce public ont donc plutôt intérêt à jouer selon les règles ;) LEXAN

✨ Il y a des moments où tout s’aligne. Je crois que c’est exactement ce qui se passe pour moi en ce moment. Et peut-être que ça a du sens pour vous aussi ! Depuis des années, j’accompagne des entreprises souvent B2B — dans l’industrie, la santé / pharma, le bâtiment, les spiritueux ou encore les services aux professionnels — à construire leur stratégie digitale. Des univers exigeants, techniques, souvent complexes… mais passionnants. Des environnements où chaque action doit avoir du sens, où la précision compte plus que le volume, et où la confiance se gagne par la preuve. Au fil du temps, j’ai appris à connaître le marketing digital B2B sur le bout des doigts. Mais surtout, j’ai développé un vrai engouement pour ces métiers, ces experts, ces sujets de niche qui demandent autant de rigueur que de curiosité. C’est là que je me sens à ma place : à la croisée de la stratégie, du marketing et de la performance mesurable — des actions qui parlent autant aux équipes communication qu’aux équipes commerciales. Et puis récemment, tout s’est accéléré. - Des anciens clients qui me demandent un coup de main. Merci Patrick, merci Arnaud 🙌 - Et même qui me soufflent que, pour moi, c'est le moment. Merci Emeric 🙏 - Un ancien patron qui me propose une collaboration pour retravailler ensemble. Merci Eric 🫶 - Un ancien manager qui m'appelle pour me proposer son aide. 🤛 - Une amie de longue date avec qui je rêvais de retravailler qui me propose d'embarquer sur un projet avec elle. Merci Emlyne TESSARI-ROSSI 💛 - Ma grand-mère qui, plutôt que de paniquer, réagit immédiatement par un "Boh! Tu l'as décidé alors tu vas y arriver, je m'inquiète pas pour toi". (J'étais pas sûre de comment elle le prendrait, alors même si elle ne fera sans doute pas mon chiffre d'affaire et qu'elle ne comprend toujours pas vraiment ce que je fais, ça reste l'une des réactions qui m'a le plus touchée.) Des messages de confiance, d’estime, de soutien. Bref : des signaux clairs qu’il était temps de me lancer. 🚀 Alors voilà, c’est fait : 👉 Je crée ma société ! Pour aider les entreprises B2B à transformer leur site web en véritable levier de croissance. Pas de jargon. Pas de promesses magiques. Juste une méthode structurée, des actions concrètes et des résultats mesurables. C’est la rencontre entre un savoir-faire éprouvé et un plaisir sincère à plonger dans vos univers. Et si votre site ne vous rapporte pas (encore) les bons clients… 🗓️ parlons-en, je serais ravie d’en faire le point de départ d’une belle collaboration. 👉 Lien Calendly en commentaire

Une petite infographie sur la différence entre la data science et le deep learning... et les surprenants écarts de résultats de chacune des méthodes !

Ayant grandi avec le digital, on prête souvent aux générations Y et Z des comportements de consommation très éloignés de ceux de leurs aînés. Mais, d’après une récente étude, "digital natives" ne veut pas forcément dire "digital only"...